vendredi 6 février 2009

Buenos Aires






A l heure ou j ecris il ne nous reste plus que 3h pour profiter de cette ville de fous ¡
Apres un voyage plus ou moins apprecie par les 2 narrateurs, place a la chaleur, place aux claquettes, place au t shirt, place a la bag packer attitude...
A mon arrivee hier, il pleuvait et le temps etait lourd. Puis le soleil est reapparu dans l apres midi. C est ainsi que j ai decouvert la capitale argentine. Une ville aux angles perpandiculaires, aux tons architecturaux evidemment espagnols, peuplee par des riches et des pauvres. Mon premier contact avec cette ville fut lorsque j arpentais les rues affuble de mon gros sac a dos et que tous les 10m je repondais le plus poliment possible "no gracias" aux filles de joies et autres maccros qui me proposaient une decouverte de la ville a leur sauce. Ce n est que quelques heures plus tard que j ai retrouve Anthony qui revenait de l aeroport pour m accueillir. Peine perdue nous nous sommes rate de peu ¡
D hier je retiens le soleil, la decontraction, les rues immenses, la manif d extreme gauche devant le palais presidentiel, les terrasses aux bords des grandes arteres ensoleillees, le tumult des voitures compare aux parcs paisibles a quelques metres de la...
Puis le soleil se couche aux alentours de 21 ou 22 heures, les habitants des quartiers pauvres investissent les trottoirs pour trier les ordures...

Aujourd hui 6 fevrier, la jourmee a commence tambour battant. Nous quittons notre auberge -tres bien situee et vraiment agreable par ailleurs - pour Puerto Iguazu. Nous sommes alle des ce matin prendre nos billets de car pour un trajet qui s annonce autour de 16h... Nous partons vers 20h pour arriver la bas en debut d apres midi et ainsi profiter des paysages traverses.
Apres avoir quitte l immense gare routiere, nous avons marche enormement pour voir differents coins de Buenos Aires (le trajet de car s annonce salvateur pour mes pieds). Nous avons nottament visite ce qui pour moi est certainement le plus beau cimetiere au monde dans le qurtier Recoleta. Aussi reposant q une palmeraie - a la difference qu il n y a pas de palmiers -. Les allees carrelees, le soleil, les pins accueillent des caveaux de personnalites a l instar d Eva Peron. Puis nous avons continuer notre randonnee urbaine sous le soleil et la chaleur , avec pour escale un parc et un pic nic ¡ Le plus impessionant est peut etre l immensite des arteres, et malheureusement le pollution en consequence. Il y a egalement une rue pietonne, cernee par les commerces, et partagee en 2 par des commercants proposant leurs produits a meme le sol. On y trouve des lunettes de soleil, des dessins, du linge de maison, des lampes de poche, des casquettes et des centaines d autres choses. Dans la rue on trouve egalement ceux qui cirent les chaussures (comme a Marrakech), mais aussi des medecins (le sont ils vraiment) qui proposent leur service, stetoscope a la main.

Buenos Aires ne sera certes qu une maigre etape au point de vue timing. Mais il est certain que je m en rappelerai.
Lorsqu on visite une nouvelle ville, on est toujours tente de la comparer a une autre, de savoir a quelle autre elle ressemble. Pour mi Buenos Aires m a surpris et restera donc un bon souvenir, puisqu il est impossible de la comparer a d autres villes, dans le sens ou elle est unique.

Romain

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